Artiste Street-art
Il choisit une démarche personnelle grâce à son animal fétiche, le Panda.
Parallèlement, il approfondit le dessin et s’intéresse activement au graffiti.
A 20 ans, il semble avoir trouvé sa voie dans le milieu du Street-art.
Il choisit une démarche personnelle grâce à son animal fétiche, le Panda.
Il justifie ce choix parce que selon lui :« le panda était l’animal qu’on peut facilement détourner graphiquement et grâce aussi au regard des gens qui le voient comme un nounours mignon et qui vont donc vite se l’approprier.
Il est donc devenu mon personnage que j’accommode avec mes designs très fins.
« Le fait d’avoir son style perso, on se sent plus à l’aise dans son art, on peut évoluer. »
Par la suite au gré des rencontres et des expositions, Aurel fait la connaissance de nouveaux supports,
les sculptures de récupération de Fab Delaunay l’inspirent le peintre et écrivain lorrain Dominique Halbeher l’encourage dans sa démarche artistique, Raphaël Seretti, sculpteur monumentaliste lui enseigne les débuts du travail de la terre.
Aurel peut désormais fabriquer ses propres personnages.
Mais quelque chose de plus fort l’attire encore : ce sera l’installation, le body-painting (peinture corporelle) va lui permettre de relier illustrations et photos.
Et bien d’autres.
Ainsi compte tenu des évolutions qui ont marqué son parcours créatif, comment peut-on définir son propre style ?
– Un style très proche de la BD.
Ces personnages, les pandas sont le plus souvent stylisés, soulignés par des traits, des flèches dans tous les sens ainsi que d’autres signes qui gravitent autour de ces animaux fétiches dans le but d’indiquer le mouvement et accentuer la proximité avec la bande dessinée (BD).
Un graphisme « enfantin » ? Mais ce même reproche fut adressé à l’époque à Keith Haring lorsqu’il créa son bébé radiant, le chien qui court… !
Ce faisant en utilisant un graphisme visuel simple et facilement identifiable, l’artiste réussit à mieux communiquer avec les autres.
Notamment le jeune public avec lequel il peut facilement attirer l’attention en restituant
le rythme frénétique de notre temps. D’où l’importance du mouvement et de l’exubérance visuelle qu’il insuffle dans ses œuvres.
Aurel restitue des pulsions inouïes. Tout est ici jouissif, jubilatoire mais cette folie douce cache aussi une peur inavouée que l’on devine dans le regard dessillé de certains personnages.
Cette représentation sous le mode d’un cartoon fait surgir un univers qui est loin d’être enfantin ou naïf.
Il exprime la vision d’un jeune adulte qui pose un regard lucide et non complaisant sur son environnement.
Biographie rédigée
par Christian Schmitt critique d’art.
www.espacetrevisse.com
Artiste Peintre
Les traces de pinceau-brosse
Je me suis formée dans les ateliers grand public de l’ Ecole des Beaux-Arts de Cherbourg , ce qui m’ a permis de faire des expériences très diverses .
En 2006 , j’ ai commencé à développer un travail personnel , me consacrant à la peinture acrylique....
Notes de l’ artiste Arlette Liviau :
Mon idée est de représenter des instantanés , des impressions , sous forme de lignes , de signes , de mouvements , de compositions ou de juxtapositions de couleurs ...
Avant de me lancer , je prévois le sens et l’ ordre des coups de pinceaux ; mon travail est ensuite gestuel, radical sans anecdotes ...
J’exécute, du bout de larges pinceaux-brosses de bricolage , des traces bien lisibles qui entrent en interaction avec le blanc de la toile se trouvant laissé en réserve ...
Je garde apparentes également les autres traces du travail ( coulures , diffusion , vibrations ... )
Tout cela est le sujet même de mon travail , et je ne m’autorise aucune possibilité de retouche .
Je préfère ne pas donner de titre à mes tableaux afin de laisser toute sa place à l’imagination du spectateur ...
– Décembre 2006 : Centre Culturel de Cherbourg
– Janvier 2008 : Chapelle des Beaux - Arts
– Avril 2009 et 2010 : Festival de peinture de Querqueville
– Juin 2009 et 2010 : Art’ zimutés à Tourlaville
– Octobre - novembre 2009 et 2010 : Salon de Tourlaville
– Novembre - décembre 2009 : Opération UNICEF
– Décembre 2009 : « Peintres en Cotentin » à Carentan
– Décembre 2009 : « Noël tous ensemble » à Tourlaville
– Juin 2010 : Campagn’ Art à Fermanville
– Mai 2008 : Manoir de la Coquerie à Querqueville
– Septembre 2008 : Maison Pour Tous Léo Lagrange à Cherbourg-Octeville
– Janvier-Février 2009 : Ferme des Flottes du Club des Loisirs de Tourlaville
– Eté 2009 : Color ’i à Cherbourg- Octobre 2009 : Ecole des Fourriers à Querqueville
– Novembre 2009 : Salle de la « Chartrie » à Querqueville
Artiste Peintre
Une artiste dont le livre est bien présent...
De mon enfance à la Saline j’ai gardé l’imaginaire, les soirées corne de brume à lire ces histoires qui vous envolent et ouvrent les portes du rêve, de la découverte, et donnent vie et envie de dessiner les images qui dansent autour.
Suivent quinze années parisiennes consacrées à la création en joaillerie, au design en orfèvrerie et arts de la table puis le retour aux sources.
Pour partager un savoir-faire artistique, je choisis le domaine associatif, Familles rurales à Urville Nacqueville d’abord, les expositions d’art locales, les Maisons de quartier de la CUC et enfin Le PLE, Patronage laïque d’Equeurdreville qui m’accueille pour animer les ateliers dessin peinture adultes, enfants et famille.
Sans oublier l’association Lire de plaisir, le lien d’expression artistique qui me permet de réunir tout ce qui m’anime : lire, imaginer, écrire et illustrer.
D’où l’idée de travailler les pages des vieux livres oubliés avec la réalisation d’une série de tableaux habillés de papier présentés lors de l’exposition « Où vont les rêves » en mai 2015 à la Mairie de Querqueville.
Un cheminement avec les livres comme support, des silhouettes qui s’en échappent, un peu comme dans une histoire lorsque l’on s’invente les personnages, m’amène à présenter cette recherche créative dans les mairies et médiathèques régionales accompagnée d’ateliers ouverts au public.
Très heureuse aujourd’hui de rejoindre le web style art de Philippe pour faire découvrir mon univers de papier coloré.
Artiste Peintre
Atelier de la hauteville à Granville
Née d’un père suisse et d’une mère néerlandaise, c’est dans les verts vallons de la Normandie que j’ai trouvé le juste équilibre entre les hautes montagnes et le plat pays, qui est le mieeeeeeeeeeeen... aussi !
Très tôt, la peinture m’a enjôlée. A trois ans, j’avais déjà réalisé ma première fresque murale ! (Technique : rouge à lèvres sur mur en crépi).
En j’en ai commis, des forfaits, depuis...
C’est simple, plus les années passaient, plus les petits dessins dans les marges de mes cahiers envahissaient toute la page ! A 15 ans, je ne prenais plus de notes du tout. Mais ne le dites pas aux enfants, surtout !
Après un Baccalauréat A3 arts plastiques avec mention - comme quoi même quand on dessine dans les marges il reste quelques notions des cours - et une école préparatoire aux métiers d’art, j’ai fait le choix de l’autodidactie, allant chercher l’inspiration et la technique dans le monde environnant. Ainsi, j’ai beaucoup appris au sujet de la peinture au contact des peintres.
Avec Mecki Dauré, ce fut la peinture acrylique sur bois, et quelques travaux de petite menuiserie. Très joueuse encore malgré mon âge, j’ai fabriqué et décoré des tas de maisons de poupées, avec les meubles, textiles et détails minutieux !
Les années 2000 m’ont vue transiter par le travail social et la création collective comme support d’épanouissement. Drakkar géant, aménagement ludique d’espace public, décoration de lieux d’accueil... Nous nous amusions bien à embellir le quotidien.
Pour autant, je n’ai jamais abandonné la peinture, passant mon temps libre - et parfois mes nuits - à respirer des vapeurs de térébenthine. C’était plus fort que moi !
Plus récemment, j’ai eu la chance de partager l’atelier de Bill Leyshon à Trouville-sur-Mer et de travailler avec Yves Riguidel. Leur contact stimulant a grandement contribué à enrichir ma palette.
Voyons ce que Granville me réserve maintenant !
Artiste Dessinateur & Peintre
Pascal CHAUVEAU, le peintre que certains appellent « L’extraterrestre »
Peintre et graphiste, vit et travaille à Cherbourg (France) où il est né le 18 février 1962. Artiste hors norme, fou de travail, c’est à 17 ans qu’il vend son premier tableau intitulé « la peur » en tant que professionnel. A ce jour il a peint plus de 500 tableaux et vendu plus de quatre cents.
Il expose à Cherbourg-en-Cotentin au château des Ravalets jusqu’à la fin du mois d’août.
Il n’a jamais voulu faire partie du circuit conventionnel des marchands. Pourtant, il n’a jamais arrêté d’exposer dans le monde entier. Il est nommé dans 32 livres de référence.
Il gagne ses galons en tant que Docteur Honoris Causa d’Arts Plastiques en 1992 en Belgique, ainsi qu’une multitude de reconnaissance sur toute la planète.
Il a été soutenu par des professeurs honoraires d’université en témoignage d’un travail méritant tout cela ne l’a pas empêché dernièrement de passer sa licence d’Arts Plastiques à la Faculté de Metz sans doute pour le plaisir. Il se donne cette liberté propre à lui dans son travail avec une expression éclectique. Sa palette est intense et très coloriée, elle vit. Nous sommes subjugués par les pouvoirs renouvelés de la couleur et de la lumière. Sa devise « l’unité dans la diversité » en est la parfaite représentation.
Vers 1986, ses tableaux, et entre autre « hallucinant paysage espagnol » nous représente un monde irréel, avec sa sensibilité proche de Dali. Il rend visible sans retenue, les aspects extravagant et dissonants de l’existence.
Scènes complètement loufoques, l’éloge de l’inconscient, du rêve, de l’imaginaire et de la folie. Là, il nous plonge dans sa période surréaliste. Il dessine également avec une parfaite maîtrise. Le contour de la forme est bien défini avec ce rehaut qui suggère la troisième dimension et donne toute l’illusion de la scène. Sa période abstraction se manifeste par une peinture absolue, libérée de toute référence ou réminiscence figurative. Il nous fait découvrir dans ses tableaux un foisonnement de couleurs, une variation de formes et de textures, cosmiques ou découpées et imbriquées les unes dans les autres. Les formes du suprématisme ont la même vie que les formes de la nature. Preuve en est ce tableau « Blue Velvet ».
Il excelle dans différentes compositions. Il a une habilité technique remarquable, une palette variée. Sans doute l’un des artistes français les plus connus dans le monde, Pascal Chauveau nous délivre une œuvre d’une intensité exceptionnelle.
Voilà bien l’explication à tout l’intérêt que lui manifestent les collectionneurs anglo-saxons.
J. Saint-Aubin, Cambridge Expertise Limited, Conseiller de Sotheby’s à Londres.
– Benezit 1999 (French)
– Thieme-Becker (German)
– Macmillan (English)
– Davenport (USA)
– Alba (Italian)
– Signatures and Monograms (French)
– Who’sWho in France - Bottin Mondain 2000.
MAYER - ADEC - AKOUN - GUIDARGUS - VAN WILDER - Etc.
L’art est, depuis la première étincelle de l’univers, l’essence même de toutes choses. Tout est régi, organisé, par son influence ; rien n’existerait sans lui (Le TAO). Il représente le facteur commun qui relie, unifie le microcosme et le macrocosme en un tout, entier, cohérent et homogène. La situation momentanée, l’unité fondamentale, l’instant d’éternité, en somme la clé de voûte résidant dans une œuvre aux dimensions précises « est » le reflet direct, répondant aux mêmes exigences que la situation universelle.
L’artiste est détenteur et non possesseur de l’art, car l’art « est » le plus grand présent que le divin ait pu donner ou plutôt confier à l’homme. En revanche, que l’artiste demeure raisonnable et ne se prenne pas pour autant pour un Dieu.
Pascal CHAUVEAU
– Antoine CARLIER MONTANARI
Les ramifications visuelles et allégoriques promulguent l’intensité et la profondeur de l’œuvre. On est contraint d’admettre la force expressive de l’artiste, il ordonne son travail suivant les sens qu’il veut exprimer. Il dilate, il construit, il trace un univers riche et varié dans lequel il s’amuse à étreindre les mystères du passé dans une allégorie du futur. Tout son travail étale une profusion de détails et de formes et par l’intensité de ses couleurs ou la juxtaposition des symboles il relate des thèmes séculiers que beaucoup de nos contemporains ont déjà oublié.
Des métaphores diront certains ou des images pour d’autres, l’essence de son œuvre ballotée par le monde antique et sa définition de la philosophie et de l’autre le monde moderne et sa louange du cartésianisme et des mathématiques, inculque une explication subtile de notre monde. La place de l’homme est ici magnifiée, à la fois bercée par les dieux et les mythes et son enracinement dans la science. Pascal Chauveau mesure le temps qui passe et relate habilement et avec force une certaine idée de la grandeur et de la décadence humaine. Son art traverse de manière ingénieuse les courants modernes comme le surréalisme et la logique de Kandisky et tout en offrant un regard complexe sur notre existence il préfigure une construction nouvelle de l’art.
Antoine CARLIER MONTANARI
– « Francis PARENT »
Critique d’Art, Historien d’art et écrivain.
(Membre de l’A.I.C.A) Association Internationale des critiques d’art.
Très nombreuses préfaces de catalogues d’expositions : Peter Klasen, Corneille, Lorjou, Tom Wesselman, Arman, Chilida, Tapiès, César, Soto, Zao Wou-Ki, Sol Lewit, Valtat etc...
Francis PARENT
Je connais la peinture de Pascal CHAUVEAU depuis la Première Biennale de SHARJAH (E.A.U.) Emirats Arabes Unis en 2001 où j’étais Commissaire pour la France et lui exposant.
Quoique éclectique, puisque allant de l’Abstraction géométrique au Surréalisme avec parfois des connotations Pop, ce travail est toujours d’une excellente tenue, il est bien référencé dans de nombreuses publications et est présent chez de nombreux collectionneurs.
Il m’a fait part de son désir, de faire don de certaines de ses œuvres à quelques fondations et musées.
Ce courrier donc, à qui de droit, pour lui confirmer que, de mon point de vue, ces dons compléteraient opportunément ces dites Collections.
Francis Parent.
– LE BENEZIT
Ses peintures se présentent comme des panneaux décoratifs, issues d’influences très diverses, elles sont fondées à partir tantôt d’une imagerie surréalisante, tantôt d’éléments abstraits.
LE BENEZIT, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs,éd. GRÜND PARIS, 1999.
– André RUELLAN, critique d’art, Art-Culture-France
Né, vivant et créant à Cherbourg, Pascal CHAUVEAU, bien que peintre-professionnel depuis ses jeunes années, demeure rétif au circuit habituel des marchands d’art, et cela peut expliquer son talent parfaitement individuel et véhément.
Imprégné par l’art antique romain et une sensibilité proche du surréalisme qu’il bouleverse néanmoins, l’artiste aime parsemer ses œuvres de signes linéaires décisifs et de mystérieuses volutes d’où surgissent une tête de statue, un corps, un astre... Pascal CHAUVEAU paraît suivre et contrôler un mécanisme subtil qui s’accommode autant du réalisme que de l’imaginaire, et restitue ainsi une vision enthousiaste, gorgée de symboles, de sensualité, de dynamisme, que la variété des techniques et de la composition absorbe en une éclatante créativité.
L’impact du passé, la vision du futur se rejoignent ainsi en peintures puissamment construites, mais étonnamment élégantes, aux incroyables et suggestives finesses que l’impeccable maîtrise de la couleur transforme en véritables miroirs de l’imaginaire.
Par ces bouleversants accords aux nuances captivantes, Pascal CHAUVEAU houspille pourtant ses sources figuratives et inserre dans ses grandes œuvres un univers méconnu, aux liaisons magiques, aux développements insolites où l’inquiétude se mêle à l’espoir en une saga d’expressions chimériques d’un art contemporain délivré de la scorie des modes.
André RUELLAN, critique d’art, Art-Culture-France.
– L’Amateur d’Art, 1990
Une grande composition surréaliste pour un Hérode destructeur, avec l’éclat d’un univers légendaire. Pascal Chauveau montre une grande fermeté dans l’écriture et une belle acuité de vision qui exalte les lignes et les volumes. Nous sommes à la découverte de l’orgueil et sa démesure dans un véhicule d’évasion spacial. (Hérode ou l’orguei ! démesuré)
L’Amateur d’Art, 1990.
– G, SCHURR,
Des toiles surréalisantes, construites avec application. Le peintre dit aussi son admiration pour le Pop’Art.
G, SCHURR, Le guidargus de la peinture, 1998.
Chauveau est un artiste très élégant de facture et ses œuvres sont racées : depuis le figuratif jusqu’au surréalisme, en passant par le symbolisme tout est pur et parfait. C’est un peintre à suivre absolument...
Visages du XXe siècle. (Revue de « La Légion Violette ». Association culturelle des membres de la Légion d’Honneur, des Palmes Académiques, des Arts et Lettres. Fondée en 1952) Prix « Visages du XXe siècle », 1989.
– AKOUN
Emouvant dans son écriture surréaliste, l’artiste excelle pourtant dans ses compositions abstraites..
AKOUN, « CV-XIX-XX », Répertoire biographique d’artistes de tous pays des XIXe et XXe siècles, 2005.
– L’Amateur d’Art, 1989
Freud a sondé les processus de l’inconsient, Pascal Chauveau s’aventure à son tour dans le domaine du moi secret de l’être par un parcours dans Le couloir des songes.
L’Amateur d’Art, 1989.
– Antonio CAGGIANO
Images qui ne sont pas seulement des signes ou des symboles, mais qui contiennent dans la représentation de la chose un sens profond tout autant que mystérieux : en d’autres termes, c’est l’identification d’une « mémoire » antique qui renaît avec l’histoire, les mythes, les personnages d’autres époques. Et voilà alors la représentation, en fond de scène, d’un panorama où la technique suréelle ressort, sous des aspects conceptuels qui repropose tout ce qui a été contemplé comme tel ou tel événement. Sujets en relation avec le temps, les emblèmes, l’architecture et la littérature associés à de nouvelles formules, tout cela pour une reconstruction idéale. Et ceci comme il en a été pour le premier surréalisme, une réflexion sur la vie et l’histoire dessinée sans règles, ou conditionnements esthétiques. C’est ainsi que « l’onirisme » de Chauveau conduit vers le souvenir d’un monde traversé par les événements et où s’avancent précisément avec majesté les éléments en but à une reconstruction idéale.
Antonio CAGGIANO, Conservateur aux Musées nationaux italiens, 2000.
Gino TRABINI
Sa recherche intimiste apporte et élabore une peinture aux signes incisifs, une peinture abstraite aux motifs décoratifs, qui souvent se superposent en combinaisons variées de forte suggestion formelle et chromatique.
Gino TRABINI, Membre de l’Académie « Tiberina » de Rome, 2004.
– Philippe BOUSCAYROL
Mêlant intimement sa vie et son art, Pascal Chauveau incarne un retour aux sources de la civilisation humaine. L’art de Pascal Chauveau révèle une écriture personnelle, codifiée, resituant la création au centre de toute vie depuis les origines. Féru d’histoire, passionné de mythologie, il revisite les grands sites et moments fondateurs en une démarche artistique empreinte de surréalisme, d’abstraction et de symbolisme. Une grande maîtrise technique alliée à un sens inné de la composition et un perfectionnisme extrême permettent à l’artiste d’aboutir des œuvres allant jusqu’au bout de la pensée, du symbole et de l’imaginaire dans une démarche essentiellement abstraite.
« Milo » extraite de la série des « Cyclades » répond comme un écho à l’île du même nom où fut trouvée, en 1820, la célèbre Vénus de Milo exposée au Musée du Louvre.
« Cyclades... vestiges de la »légendaire Atlantide« selon Platon ?... » Pascal Chauveau
Par Philippe BOUSCAYROL Editions R.E.G.A.R.D.S
– Biennales internationales d’Art Contemporain
– Washington, USA, 1991
– Théodore Museum, Toronto, Canada, 1994
– Royal Académie of Arts, 226e Summer Exhibition, Londres, 1994
– Florence, Italie, 1998
– Sharjah, Emirats Arabes Unis, 2001
– Artex, Tokyo, 2001, Japan Contemporary Art Association
– Huttenberg, Autriche, 2002
– Paris, France, Grande Arche de la Défense, 2002
– La Quinta Arts Fondation, Los Angeles, 20e annuel 2002
– Artexpo 2003, Javits Convention Center, New York
– European Art Masters 2003 (Maîtres européens), Trenton, New-Jersey, USA
– EUROP’ART, Genève, 2003
– Basilique Santa Maria del Popolo, Rome, 2003
– Saint Tropez, 2004
– Palace du Negresco, Nice, 2004
Expositions personnelles
Nombreuses expositions dans de prestigieuses galeries nationales et internationales : Europe, Etats-Unis, Asie.
– Attestations et témoignages particuliers, Recteur et Professeur Honoraire de la Faculté de la Sorbonne : Paris I et IV et Université de l’Europe.
– 1er Grand Prix de dessin 1988 au 39e Grand Prix International de Peinture de Deauville.
– Prix du Public Aix-en-Provence 1990, Salon International des Seigneurs de l’Art
– Mérite et dévouement Français, Médaille d’Or 1998.
– Médaille de Vermeille « Arts-Sciences-Lettres » 2000.
– Coupe d’honneur de la Ville de Nice 2004, Grand Prix International de Nice.
– Nombreux autres prix et distinctions.
– Nombreux beaux livres et ouvrages spécialisés.
– Quo Vadis 1990
– Portraits - Gérard Philippe
– Le petit pot de fleurs
– Gorgones (Méduse)
– Thérèsa HENRY 2011-2012
– Au jardin extraordinaire - 1995
– Papillon - 1994
- Le fugitif appel du désir et Hérode ou l’orgueil démesuré
– Mouvement perpétuel N° 5 - 2009
– Mouvement perpétuel N° 4 - 2009
– Aux couleurs de Matisse - 1989
– Le chemin de Lune - 1989
– AMOUR - 1989
– Hommage à
– Marilyn Monroe
– Les Elohims de Nazca
– SANTORIN (série cyclades) 2006
– SIKINOS (Série cyclades) - 2011
– Portraits - Portrait d’Elizabeth Taylor
– Portraits - Portrait d’Elizabeth Taylor
– Portraits - Grace KELLY - Son Altesse Sérénissime la Princesse Grace de Monaco - 2012
– Portraits - Grace KELLY - Son Altesse Sérénissime la Princesse Grace de Monaco - 2012
– Portraits - Humphrey Bogart (1991)
– Portraits - Marlon Brando (1988)
Artiste peintre
Un art en Recherche de la spontanéité
Artiste peintre.
A la recherche de la spontanéité maitrisée et d’une peinture aboutie.
Je travaille mon expression et non mon style, qui viendra peut-être dans la sincérité d’une approche longue et ambitieuse.
Lucide de la difficulté de la tâche, je n’ai aucune certitude d’atteindre cette perfection. De toute façon l’insatisfaction cultive l’envie et développe la curiosité.
Dans une approche contemporaine, en évolution permanente, je m’inscris dans la continuité de mes pères du temps où l’intérêt apporté au sujet était aussi important que la sincérité de la démarche.
Cette ode dédiée aux femmes de la Terre et à la féminité magnifiée par Paul VERLAINE est ici illustrée par les belles peintures de Daniel GARLANDAT. La musique de Michel ALLAIN accompagne Georges ROUFFINEAU qui nous entraîne avec sensibilité dans ce magnifique voyage intérieur.
Je m’inspire de mon environnement, ma motivation est dans la difficulté de maîtriser les différents sujets que j’aborde sans appréhension car le résultat importe moins que l’expérience accumulée.
J’aime... la peinture est pour moi un art de vivre.
Novembre 2012 Exposition à la salle du Chartier à Bricquebec
Septembre 2012 Exposition à l’Eglise de Port-Bail
Mai 2012 Les Cascades sur le Thème de l’eau à St Pierre-Eglise
Avril 2012 16e Fête des Arts à Moissac
Décembre 2011 Salon de Torigni-sur-Vire
Septembre 2011 - Grande Biennale de Pont-Farcy, Pont sur l’ART
Mai 2011 - Exposition « Galerie temporaire » Siouville-Hague
Décembre 2010 Salon de Torigni-sur-Vire
Aout 2010 Invité d’honneur à Siouville-Hague
Mars 2010 Salon de Gouville-sur-Mer
Décembre 2009 Salon de Torigni-sur-Vire
Août 2009 Salon de Siouville
Juillet & Août 2008 Exposition au Manoir du Tourp
Mars 2008 Lauréat du Salon du Manoir du Tourp
Octobre 2008 - Salon Les Arts du Val de Vire - Pont-Farcy
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Peinture, Aquarelles et Huiles
Les hommes, la terre et l’eau
Sa peinture sans artifice témoigne d’une région où le ciel, la terre, la mer et les hommes sont intimement liés.
– Une artiste qui peints avec talents, tout en arrivant à marier « Les hommes, la terre et l’eau »....
Artiste Peintre
Aquareliste
Née à Alger (Algérie) en 1954, Isabelle arrive à Paris en 1958 avec ces parents.
D’abord attirée par le dessin depuis son plus jeune âge, c’est pourtant la peinture et la couleur qui deviendront ses moyens d’expression.
Elle suit des études dans le milieu de la petite enfance et travaille dans le social. A 20 ans, elle se marie et se consacre à l’éducation de ces trois filles. Puis quitte Paris pour la Normandie. Là à la faveur d’un peu plus de liberté, elle découvre l’aquarelle et ainsi le fabuleux monde de la couleur et la magie de la transparence.
Encouragée par ses proches, elle commence à exposer localement ; puis ouvre un atelier local d’initiation à l’aquarelle.
Ainsi elle partage son temps entre l’enseignement de la peinture et son activité de peintre en pratiquant l’aquarelle mais aussi l’acrylique et le pastel sec .Elle est membre actif de plusieurs associations de peintres régionaux :
– Les peintres et sculpteurs indépendants de Basse Normandie depuis 1996
– Pastel en Normandie depuis 1999
Elle est à l’origine de la création du groupe de peintres au féminin : Connivence, qu’elle animera de 1992 à 1999.
C’est à cette époque, qu’elle découvre Jean Louis Morelle, aquarelliste renommé, certainement à l’origine du formidable renouveau de l’aquarelle depuis quelques années et se forme auprès de lui au cours de plusieurs stages.
Cette découverte remet en cause son travail jusqu’à cette époque, et marque le début d’une recherche assidue dans les techniques de l’aquarelle matière : le travail dans l’humide, ainsi que la recherche des harmonies colorées .Le travail devient plus fluide, plus coloré…tout en restant attaché à un certain réalisme.
En 2007 un stage auprès d’un autre grand maître de l’aquarelle : Xavier Swolfs vient enrichir sa technique qui grâce à un travail personnel devient plus gestuelle et libre.
Stages aussi auprès de Jeanine Gallizia et Marc Folly tous deux maitres reconnus en matière d’aquarelle
Création d’un « blog » sur Blog4ever : l’Atelier de Garance
Elle expose depuis 1992.
Mondeville(14) prix de la ville
Venoix (14) prix du conseil général
Mondeville (14)1er prix du public et 3e prix jeune public
Herouville(14) exposition internationale de Beauregard, prix du thème
Brécey (50) mention spéciale du jury
Fontaine Etoupefour (14) exposition -concours :
1er prix d’originalité, 2e prix de la ville, 1er prix jeune public
Bénouville (14) salon annuel 1er prix de la ville
Falaise (14) salon des indépendants : prix Letellier
Herouville (14) salon de Beauregard:1er prix des œuvres sur papier
Bénouville (14) salon annuel :prix du public
Salon des Indépendants à Caen : mention du jury
Morteaux Coulisseau (14) : 1er prix d’aquarelle
Falaise (14) : mention du jury
Bénouville (14) salon annuel de peinture : prix du public
Exposition permanente à la galerie : La Muse de l’Art
Participation au festival « Solidor en peinture » : présélection et félicitations du jury
Participation à « Vieux la romaine en peinture »
18em salon « Expressions » à Dom jean (50)
Luc sur mer (14) exposition personnelle, galerie du « Petit Enfer »
Bénouville (14) Salon annuel : Prix de la ville pour l’ensemble des œuvres présentée
Salon de printemps des Indépendants à Falaise (14) : prix Arlette de Falaise
Salon de peinture de la Société Académique d’Argentan et de l’Orne 2008/ Prix de la ville
Domjean, expression 2008, salon régional d’art 19e édition : Mention « aquarelle »
Solidor en peinture 2008 : Félicitations du jury
Salon international « Confluences » à Aiguillon (47)
Salon des indépendants (hôtel de ville de Caen 14)
Salon d’hiver de Thorigni (50) : 1er prix de la ville
Salon de l’art et de la peinture à Cuverville (14) : Invité d’honneur
Salon de peinture de Morteaux Coulibœuf (14) : Invité d’honneur
Grande Biennale de la table ronde de Vire (14) : 1er Prix Aquarelle, pastel, gravure et dessin
Salon « Prestige de l’aquarelle « à Vincennes (14)
Salon de l’aquarelle du Haillan (33)
Salon international de l’aquarelle de Saint Yrieix la Perche (87)
Salon international de l ‘aquarelle d’Aiguillon « Confluences » (47)
Salon international de peinture à la Ferté Bernard (72) : 3e prix d’aquarelle
Salon régional de Ranville (14) : invitée d’honneur
Salon des Indépendants (hôtel de ville de Caen) : Prix Techniques à l’eau
Salon d’hiver de Torigni (50) : invitée d’honneur
Salon de peinture à Démouville (14)
Salon de peinture à Mathieu (14) : Invitée d’honneur
Exposition personnelle à Luc sur mer (14)
Salon de printemps des Artistes indépendants de Basse Normandie
à Falaise (14)
1er salon international d’aquarelle « Aquarelle’ Eure » à Gaillon (27)
Salon international d’aquarelle à Rochemaure (Ardèche)
Salon de peinture « Expressions » à Dom jean (50)
Salon international d’aquarelle à St Yrieix la Perche(87)
Salon international d’aquarelle « Françoise d’Aubigné » à ST Gelais dans le Marais poitevin
1re biennale d’aquarelle à St Féréole(Corrèze)
Salon « terre des arts » à Brécey (50)
86e Salon de peinture et sculpture de Fontenay le Fleury(78)
12e Salon de peinture et sculpture de La Londe (76)
53e Salon des « Peintres du Bocage » à Flers (61)
56e Salon d’automne des Artistes indépendants de Basse Normandie à Caen (14)
21éme salon international d’Uckange(52)
1er salon de l’aquarelle de Caussade en Quercy (82)
Grande biennale de la table ronde de Vire (14) : 2em prix aquarelle ,dessin ,gravure et pastel
Salon international d’aquarelle du Haillan (33)
« Aquarell’ Eure « salon international d’aquarelle à Gaillon (27)
Salon de peinture et scupture de Dom jean (50) : prix de la ville de
Domjean
Festival d’aquarelle à Milly la Forêt (77)
Salon international d’aquarelle à St Yrieix la Perche (87)
Salon des Peintres du Bocage de Flers (61)
1er festival international d’aquarelle du Perche
Salon de peinture et sculpture de Gorron (53)
Salon de Printemps des Artistes indépendants de Basse Normandie à Falaise : Prix Arlette de Falaise
Salon de peinture et sculpture de Domjean (50) : mention nature morte.
Salon international de l’aquarelle de St Yrieix la Perche
2e biennale d’aquarelle d’Arcachon au Teich
9es rencontres artistiques de Brie
Salon international d’aquarelle d’Aiguillon « Confluences »
Salon des peintres du bocage de Flers
Salon d’automne des artistes indépendants de Basse Normandie
Artiste peintre
Explication de mon travail
« En peinture aussi la vérité est près de l’erreur », cette phrase de Pierre
Bonnard résonne avec justesse lorsqu’il s’agit de saisir l’œuvre de Thierry Larivière.
Vérité comme le mirage de l’oasis en plein désert. L’artiste s’engage dans le tableau comme on part en voyage, avec une attente, mais sans savoir ce qu’il va découvrir.
Au désert de la toile blanche, il offre la couleur et la ligne.
Celle-ci chemine len tement, conduit l’œuvre, revient sur ses pas, explore, se rencontre elle-même. Ses propres croisements créent des surfaces encloses.
La ligne peut devenir corde ou couture et n’est plus une délimitation mais un lien, une jonction propice à la fusion . Il arrive qu’elle se transforme en canal protecteur d’une onde rouge irrigation sanguine qui donne vie à l’œuvre. Et les angles vifs , impulseurs de tensions ne parviennent pas à annihiler l’effet fusionnel des compositions.
D’ailleurs, ces encoignures a britent parfois des œufs, des formations cellulaires, des ovoïdes encéphaliques, quelque chose de l’ordre de la genèse du vivant. L’absence de profondeur renvoie à la vision microscopique. Plus encore, les linéaments semblent construire de façon quasi-automatique des formes figuratives saisies dans un registre zoomorphe, bestiaire monstrueux de l’infiniment petit.
L’artiste décline aussi un vocabulaire animal saillant : des bouches comme des becs, des formes griffues, des mâchoires anguleuses, des pinces , des trompes. Ainsi, la ligne dévore l’espace et dans ses méandres acérés, incise et menace. La couleur entre dans la même danse : violence des tons vifs, contrastes tendus des primaires, choc de certaines surfaces peintes en aplat.
Dans ce balbutiement de la création, survient une éclosion de sens mais
de sa vérité profonde, l’artiste ne laisse rien connaître, il ne nous livre aucune clé sémantique , aucun mot, aucun titre , pas même un numéro car il évolue dans un univers libre soumis aux forces irrationnelles qui occupaient le monde avant l’ordre.
Ces êtres inachevés dont on ne distingue parfois que d’infimes
éléments, poils, sexes, orifices, sont-ils en devenir ou en effacement ?
On peut y adjoindre les formes abstraites alentour, qui échappent à toute lecture cohérente, pour aboutir à la perception d’un monde en marge de la vie, trop souterrain pour se confronter à la réalité. C’est la nuit du vivant. L’espace flottant, l’absence d’appui sur une base conforte l’idée d’une antériorité de la vie sur terre.
Mais la ligne prend ici une valeur dynamique, temporelle, elle
se fait support matériel d’un processus d’individuation, symbolique d’unpassage, d’une naissance.
« L’imagination n’est pas don mais par excellence objet de conquête » écrivait André Breton. Toute démarche poétique qui tend à se surprendre elle-même, à revenir à la source de la vision, comporte cette dimension d’une conquête sur l’inconnu et fait surgir la question de l’origine.
D’où venons-nous ? Qui sommes-nous ? L’œuvre de Thierry Larivière semble travaillée par cette question.
Une gouache sur papier propose des lettres flottant en tout sens sur une surface verte sans jamais se rencontrer, appelées à ne rester que des bruits énigmatiques.
Dans l’espace en apesanteur qui caractérise l’œuvre, on aperçoit dans un angle un hémicorps relié au reste de la composition par un cordon qui se perd dans l’image, réapparaît, cherche sa source.
Nombre d’éléments, en partie masqués subissent une force centrifuge de telle sorte qu’on reçoit la vision d’un mouvement de passage. Un motif à deux membres au centre semble éjectée d’une forme ovée elle aussi retenue par un lien ombilical.
Le papier, support fragile, ajoute sa caractéristique éphémère à cet espace disloqué , sans repères , espace transitoire , lieu de passage vertical impliquant une notion du temps qui est celle de l’instant.
C’est l’instant poétique de la création dans sa dimension étaphysique, cosmogonique et individuelle qui se superpose à celle de la création artistique elle-même.
En ce sens, Thierry Larivière rejoint l’analyse de Kandinsky selon laquelle " chaque œuvre naît, du point de vue
technique , exactement comme naquit le cosmos « et » la création d’une œuvre, c’est la création du monde " (1).
Françoise ROBERT-CAILLE
(Docteur en Histoire de l’Art)
(1)W.Kandinsky, Regards Sur le passé 1913 ; Ed Hem1ann Paris,1974
Christiane Gervaise est artiste peintre par passion
Artiste peintre originaire du Coutançais
Christiane Gervaise, une artiste peintre originaire du Coutançais, vit à Chaulieu depuis 1982.
A ce jour, elle a participé à plusieurs salons et expositions avec un succès grandissant. Peindre a toujours été pour elle un besoin dont elle a pris conscience entre 7 et 9 ans. « Je n’avais pas envie de travailler la terre comme le faisaient mes parents, mais j’observais la nature, la campagne. La terre fraîchement retournée a des senteurs qui éveillaient en moi des sensations particulières et je me disais que plus tard je serai peintre. »
Ouest-France 31-01-2007
Un talent inhabituel que celui de Christiane GERVAISE : elle peint le plus souvent des
personnages, et essentiellement de bien jolies femmes dont elle révèle magistralement la sensuelle harmonie du corps, ou bien qu’elle revêt avec une simplicité intimiste mais pittoresque, en alternant au fil des poses, des instants de rêverie, de labeur ou d’amour familial d’une impeccable évocation, qu’anime son pinceau audacieux et expérimenté.
Mais sa technique associée à une façon hardie de traiter couleurs et nuances amène aussi Christiane GERVAISE vers la composition florale d’une intéressante évolution en lumière et en charme, et la guide dans la restitution sereine d’espaces marins ou urbains, équilibrés avec une justesse étonnante et harmonieuse de la perspective et du relief.
Une belle et bonne peinture, donc, vivifiante et active, que l’artiste gère avec élégance et dont elle transmet toute la beauté avec une émotion captivante en y abordant directement la vie profonde du motif, dont elle exalte la réalité avec une décision et une authenticité bien personnelles.
André RUELLAN, critique d’art
Artiste Peintre
A r t i s t e P e i n t r e
A r t i s t e P e i n t r e
Juillet-Aout 2015
Gallerie Le Lavomatique
Siouville Hague
Salon Rampe-art
03 au 07 avril 2015
Salle du Chartrier-Bricquebec
05 au 16/12/2014
Salon Guild’A Torigni sur Vire
28/10 au 02/11/ 2014
Exposition Eglise Notre-Dame Portbail
Aout 2014
Exposition collective Saint-Pierre l’église
2011, 2012, 2013, 2014
Exposition Chateau de Flamanville
Décembre 2010/2011
Exposition Langeais (37)
Février 2011
Carrefour des arts La Chapelle Urée
Salon de peinture et de sculpture
2010
Salon des indépendants, Église Notre-Dame de Port-Bail
2010
Salon du Manoir du Tourp Omonville la Rogue
2010
Artiste Peintre
Mon parcours de peintre
Mon parcours de peintre est une errance entre les techniques, les manières, les sujets. Des allers-retours du figuratif à l’abstrait, de la peinture à la sculpture, de la figure humaine au paysage, des scènes mythologiques ou bibliques aux scènes de notre temps, des évocations corporelles ou biologiques aux contemplations atmosphériques ou minérales.
Une errance qui cherche et trouve ses chemins.
Minéral, végétal, animal, humain, tout est dynamique.
Rien n’est jamais définitif, fixé, achevé, ni décorrélé du reste. Tout est lié, et en perpétuelle transformation, à toutes échelles de temps et d’espace.
Et c’est cette réalité-là qu’il m’intéresse d’explorer et de partager – et non l’illusion d’un moment privilégié, idéal, suspendu.
Artiste peintre
Un travail néo-expressionniste dont les sujets sont l’humain et l’animal.
L’artiste est plutôt productif, avec près de 200 tableaux et une prédilection : un travail néo-expressionniste dont les sujets sont l’humain et l’animal, voire l’anthropomorphisme. Récemment, l’artiste s’est tourné vers la sculpture métallique sur cuivre, avec une série sur les coqs. « Comme pour la peinture, je veux que ces sculptures soient expressives. »
Jean-Louis Patrice a exposé de multiples fois et participé, avec succès, à de nombreux salons nationaux ou internationaux. Il a été récompensé à de nombreuses reprises. Il est aujourd’hui conseiller artistique de l’Association des artistes bas-normands.
Dans la définition des Arts, le portrait représente un domaine bien à part : soit il est autoportrait et vous obtenez en peinture un personnage qui vous regarde fixement d’un drôle d’œil ; soit l’artiste capte un visage bien posé ou fripon et le travaille minutieusement ou en larges touches contemporaines afin de mieux définir le caractère.
Je sais quelques heureux peintres qui excellent à fixer ainsi sur la toile ou tout autre support, de saisissants visages, âgés ou juvéniles, par la maîtrise d’un talent rare et d’un exceptionnel sens de la découverte du caractère d’autrui.
Jean-Louis PATRICE s’adonne surtout au portrait, mais par la grâce de ses compétences en dessin industriel , il est de ceux pour qui l’encre de Chine circule pour toujours dans leurs veines et apporte à la fois un sens étrange , quasi mystérieux de la définition du tempérament et de l’humeur du modèle, qu’il soit tangible ou imaginé, séduisant ou impérieux.
En effet, Jean-Louis PATRICE est peintre et l’unité précise des couleurs de sa palette le prouve. Mais c’est avant tout un bâtisseur d’âmes par le trait, par cet art indispensable et instinctif du geste qui creuse en premier le chemin des sentiments et des expressions. Et si le naïf de son naturel surprend parfois, en revanche, il propose d’intéressantes réussites où l’attrayant n’est pas obligatoirement le souci, mais elles provoquent un sentiment bouleversant de réalisme inquiet, mystique, pensif, généreux ou combatif, ponctué d’impacts de couleurs judicieuses.
André RUELLAN, critique d’art
Artiste peintre
Peinture à l’huile sur toile ou papier
Peintre autodidacte, je privilègie la peinture à l’huile sur toile ou papier. Ma démarche principale est de mettre en scène des paysages imaginaires en m’appuyant sur la lumière et où est occultée la régle de l’unité de temps et de lieu.
Je concilie l’imaginé avec le possible, le plausible.
Artiste plasticienne
Peintures et sculptures
J’ai appris mon métier de plasticienne aux Beaux Arts de Quimper et travaillé avec des artistes de grand talent, Danièle MADEC (peinture au couteau), Jean Jacques QUINQUIS (aquarelle), Yves DOARE (gravure), Louis DERBRE (sculpture).
Pendant 10 ans, mon travail s’est concentré sur 2 sujets : le corps humain et la vision contemporaine du patrimoine breton (31 œuvres primées). De nombreuses expositions locales mais aussi internationales (Tunisie, Japon) ont accueilli mes toiles.
En 2004, j’ai eu la chance de rencontrer un peintre extraordinaire, Jean TIRILLY. Depuis, nous travaillons ensemble. A ses côtés, j’ai appris à peindre ce que je voyais en moi. Il m’a permis d’oser.
La spiritualité et l’être humain nourrissent mon inspiration.
Par ailleurs, titulaire du diplôme d’art thérapeute de la Faculté de Médecine et de Pharmacie de Poitiers, je me suis spécialisée dans l’aide et le soin aux toxicomanes.
L’art thérapie est un moyen thérapeutique de lutte contre l’addiction. J’ai développé ce sujet dans le livre « Découvrir l’Art Thérapie - Des mots sur les maux - Des couleurs sur les douleurs » paru aux éditions Larousse, Paris 2010.
Artiste Peintre
Association Art-zac.
A l’Atelier de la Haute Ville nous pratiquons le dessin et la peinture (techniques variées) en petits groupes de 5 à 6 personnes.
Chacun peut profiter de conseils personnalisés et adaptés à son niveau de connaissances et surtout nous répondons à vos désirs de créations.
Internet et une bibliothèque fournie permet d’élargir notre champ de connaissances.
Lieu de création artistique, de cours enfants, adolescents et adultes, ainsi que lieu d’exposition se situe au 2 rue Cambernon à GRANVILLE 50400
Brigitte CORNIER en est l’animatrice et nous sommes regroupés sous l’égide de l’Association ART-ZAC. Ce lieu est ouvert toute l’année.
Artiste Peintre et Ecrivain
Gilbert Conan est né en 1951 dans le Morbihan. Il a exposé et effectué diverses missions culturelles en France et à l’étranger, en particulier en Afrique, Argentine, Pérou, Pakistan, divers continents où il découvre et parcourt les déserts du Thar, du Sahara et de l’Atacama et où il a été amené à conduire plusieurs ateliers de peinture.
Intervenant à l’IUFM de Reims pour les professeurs de Lettres, il a collaboré avec Bruno Doucey à plusieurs articles de la Nouvelle Revue Pédagogique des éditions Nathan sur la peinture, l’écriture et la question du désert.
Parmi plusieurs collaborations : la NRP (Nathan), Le Livre des déserts (Collection ’’Bouquins’’) chez Robert Laffont, la revue Incognita, L’anthologie poétique 2007 (éditions Seghers).
Artiste Peintre
Parcours de mes oeuvres
MICHEL LARIVIERE
Né le 5 juillet 1941 à CAEN
Formation autodidacte complétée par la participation à divers ateliers d’art graphique.
Expériences et références :
Expositions et salons :
Michel LARIVIERE a exposé dans de nombreuses galeries en France et dans le monde depuis 1965, en particulier :
– Salon d’été des Bas-Normands à OUISTREHAM (1er prix du jury et prix du public)
– Salon des Bas-Normands à CAEN (1er prix d’aquarelle)
Holiday Inn Paris et Lille
– Salon de Haute-Normandie à ROUEN (1er prix de la couleur)
Biennale internationale de la peinture à CHERBOURG (médaille offerte par le Député-Maire)
– Salon de Haute-Normandie à ROUEN (1er prix de la peinture à l’eau)
– Salon du LION’CLUB INTERNATIONAL (2e prix régional Basse-Normandie et 1er prix du District Normandie)
– Salon de l’Art Sacré à PARIS
– Exposition suisse, galerie du Théâtre à GENEVE (1985)
– Exposition au JAPON (1986)
– Exposition à la galerie MEDICIS, Place des Vosges à PARIS (1989 à 1992)
– Exposition à la mairie de NOUMÉA, Nouvelle Calédonie (1993)
– Exposition galerie TUFFIER aux ANDELYS(1995)
– Exposition galerie AUSTRALE Nelle Calédonie (1996)
– Exposition galerie DAZY à DIJON (1998)
Travaux sur commandes :
Parmi les travaux les plus récents, il convient de noter la réalisation d’une fresque commémorative du bicentenaire de la Révolution Française, sur commande du MINISTERE DU TOURISME. Cette fresque a été présentée au Palais des Congrès à PARIS par l’Organisation Mondiale du Tourisme.
Notons également la réalisation d’une aquarelle remise à Monsieur Robert BADINTER à l’occasion des Ateliers Nationaux des Cercles CONDORCET. Une aquarelle représentant le Mont Saint-Michel a aussi été offerte à Monsieur François MITTERAND, Président de la République, à l’occasion d’une remise de décoration.
Réalisation d’une fresque (7 m x 2.30 m) sur support STRATARTS (fibre de verre enduite de résine acrylique) pour la manifestation « OPEN UAP » de la voile à CHERBOURG.
Réalisation d’une fresque de 6 m x 44 m « Le Monument aux Vivants » (1944 portraits) à l’occasion du 50e anniversaire du débarquement.
Réalisation d’une fresque de 4 m x 37 m pour la province Sud en Nouvelle-Calédonie (Ecole de voile à Nouméa).
Réalisation d’une fresque de 4.5 m x 30 m pour la société Lemaréchal-Célestin
Réalisation d’une fresque de 4 m x 12 m pour le restaurant universitaire de Cherbourg.
Réalisation d’une fresque de 2.40 m x 32 m pour la course Européenne de la voile à CHERBOURG.
Michel LARIVIERE a également travaillé pendant quatre ans pour le journal OUEST- FRANCE comme portraitiste et dessinateur.
Durant trois ans, il a été responsable du Centre Culturel de PORT-GENTIL au GABON
Technique :
Publication d’un ouvrage en 1989 aux éditions BORDAS dans la série « DESSAIN et TOLRA » sous le titre
« BORDS DE MER » traitant de la technique de l’aquarelle.
Activités complémentaires :
Michel LARIVIERE a été initiateur ou participant dans de nombreuses entreprises lui permettant de développer sa réflexion.
Création et animations de galeries à CHERBOURG et CARTERET
Participation aux travaux de conception et de recherche pour une entreprise de constructions métalliques afin de permettre l’évolution de ses travaux dans le domaine de la décoration et des fresques urbaines.
Evolution :
Après avoir exploré les modes d’expression picturaux classiques que sont la peinture à l’huile, l’aquarelle et le dessin dans le domaine non figuratif jusqu’en 1980 et figuratif depuis, Michel LARIVIERE développe depuis fin 1988 ses travaux à partir de fibre de verre permettant par la légèreté et la résistance d’exécuter de grandes fresques démontables et résistant au temps. L’approche des thèmes symboliques lui permet de faire une synthèse entre ses préoccupations de peintre abstrait et de peintre figuratif.
Au cours de ses différentes périodes, l’ensemble de l’œuvre de Michel LARIVIERE traduit sa démarche technique, philosophique et humaine à la recherche d’un équilibre entre le cœur, le corps et l’esprit, dans la relation de l’individu à la société.
Artiste Peintre
Présentation
Il lui est impossible de peindre ailleurs à moins de retrouver les mêmes conditions d’isolement. Le travail fini il s’interroge ...
– Il aime aussi beaucoup peindre sur commande c’est tellement contraignant.
Né par hasard à Dreux le 23/10/1947 il sera dans un premier temps de bagne poursuivi par ses études pendant lesquelles il rêvasse en griffonnant sur ses cahiers de classe.
Il découvre l’école d’Arts Appliqués Albert Maignan du Mans où il suivra un cycle d’études artistiques classiques, puis à l’école Régionale des Beaux Arts de Tours.
– Le jeune homme étudiera avec avidité les méthodes et techniques de graveurs.
Xylographie, lithographie, eaux fortes, et plus particulièrement la « taille douce ».
Après tous ses diplômes, 1968 sonne le glas de ses études, il devait monter en loge aux Beaux Arts de Paris.
Direction le service militaire ...
Plus tard il va peindre par impulsions externes dans sa chambre noire, l’atelier qui pour lui est un lieu catalyseur de tous ses travaux exécuté sans document, seulement à partir de souvenirs épars.
L’atelier est exigu seulement 5m X 5m X 2 de hauteur comparable à une cellule aux rares ouvertures, presque borgne.
Il lui est impossible de peindre ailleurs à moins de retrouver les mêmes conditions d’isolement. Le travail fini il s’interroge ...
Il aime aussi beaucoup peindre sur commande c’est tellement contraignant.
Le temps est suspendu il barbouille sur ses morceaux de néant.
– 1er prix du public « Salon des Ravalet 2005 ». Cherbourg.
– « Regards sur le Cotentin ». Le Tourp Avril/Mai 2006.
– 1er prix du public « Salon des Ravalet 2006 ». Cherbourg.
– Salon d’automne 2006.
– Salon d’automne 2007.
Michel LARIVIERE
Un artiste
Michel LARIVIERE : cela fait nombre d’années que j’avais noté ses coordonnées dans mon agenda, tant j’étais ravi d’apprécier ses œuvres lors du Salon de Rouen ou en exposition à la Galerie Tuffier aux Andelys.
Ecrire à propos de ses peintures de cet autodidacte qui expose depuis 1965 en France, Outre-Mer ou à l’étranger, est un véritable plaisir.
Partant des différentes techniques classiques qu’il pratique, Michel LARIVIERE a approfondi ses recherches sur les résines, d’où ses fresques stupéfiantes.
Mais comment ne pas contempler ses marines, des merveilles fluides, sereines, expressives, aux ciels séduisants et aux lointains mystérieux où règnent les vents. Maître en perspectives, LARIVIERE ne pouvait que réussir magistralement ses paysages, et ses brassées de fleurs champêtres, activées par une touche pleine d’assurance, gorgée de vie, de présence, de charme, aux éclatants impacts de couleur et de lumière menés avec une virtuosité peu ordinaire.
Mais il se montre audacieux et novateur, Michel LARIVIERE, avec des portraits, aux visages hantés, et surtout ses foules, aussi inquiètes qu’inquiétantes, aux êtres de passion et d’émotion, de gravité expressive dans une ambiance intemporelle.
C’est tout cela, Michel LARIVIERE, sensible et audacieux, et comme il est dit en Normandie : « c’est quelqu’un ! »
André RUELLAN, critique d’art
Artiste Peintre
Julia Legoux est originaire de la Hague, péninsule normande qui s’enfonce dans la Manche. Elle a vécu à Cherbourg, puis à Caen de 1977 à 2000. Elle habite désormais dans le village de Grosville, dans le nord Cotentin. Elle expose depuis 1976.
Une vraie Normande de cœur, Julia LEGOUX, et fidèle avec ça, à son Nord-Cotentin où elle naquit et habite désormais. ( voir de ces œuvres) voir son site
D’ailleurs, il n’est qu’à suivre ses expositions depuis 1976, en majorité situées en Basse-Normandie, où de nombreux prix au fil de salons renommés ont défini son talent et sa réputation artistiques.
En effet, quelle étrange et séduisante peinture signée Julia LEGOUX, qui dissimule avec brio, afin de mieux exprimer l’essentiel, pour faire brillamment éclater le geste et le concept.
Ses larges touches dynamiques sont travaillées en camaïeux fort expérimentés d’où surgit la lumière et où s’approfondissent formes, générosité et expression.
Une peinture moderne donc, mais sans vanité, très personnelle, éclatante de vitalité, où le motif sait se confronter à la dualité, qu’il s’agisse de personnages sensuels dans une atmosphère vaporeuse, ou de brillantes et audacieuses compositions florales.
Quant aux sites naturels, Julia LEGOUX y déploie une ampleur quasi-informelle d’où naissent la puissance, le dramatique et la suggestion, bien à l’image de l’environnement qu’elle crée également autour d’êtres mystérieux, mais dynamiques et expressifs, ennoblis de couleurs magiques dans un engagement gestuel superbement peint.
André RUELLAN, critique d’art
Artiste peintre, designer d’intérieur
Sa collection de peinture
Adeline, Artiste peintre, designer d’intérieur.
– Directement, on ne peut résister à son charme et rapidement on trouve en elle une originalité, un esprit créatif sans limite.
Sa collection de peinture est tout simplement magique. Cette artiste peintre a juste besoin de toucher pour embellir, juste besoin de contempler pour créer.
Artistes
Graffiti, Graffiste
..."A l’age de 14 15 ans je découvre le graffiti, grosse révélation pour moi, la couleur débarque sur mes dessins en noir et blanc crayon à papier etc. Je vois la palette de couleur je pète des plombs, je me dis la couleur c’est la vie ! OP j’avais fini le collège, je tente le concours de l’école de communication, j’arrive premier au concours.
Alors je découvre par la suite l’infographie que j’apprends seul , j’éclate des tonnes de feutres. etc ..
Je continue le graffiti sur papier, au bout de 2 ans d’apprentissage papier je me mets sur mur en 1998. Un jour je prends le train avec mon voisin qui est un putain de pote, Mathieu alias Mathias. j’arrive énervé un peu fashion hip hop sur les bords, il me fait « qu’es- ce qui t’arrive Negros » je fais « c’est chiant ils vendent que des sapes de merde, c’est relou il arnaque les gens » et là il me dit « Negros crée ta marque , t’es de la famille faut que je te briffes » donc là : "lumière"...On tripe dans le train à imaginer si ça marcherai ceci cela.
Plus tard, je me penche sur le dossier, je vois que ça va être galère manque d’expérience, de preuves, de travaux… « patience » je me dis, donc je taffe mon école de communication. Le graffiti ralenti car j’étais avec des sales types, je décide donc de recommencer à zéro . Mes potos de la famille me motivent, et par la suite les darons et daronnes des potes me prennent à parti me demandant s’il me faut de la thune Jje me dis « des actionnaires non ! » je veux que se soit indépendant, alors je termine mes 4 années de com graphique, je tente les grandes écoles et là je suis prix dans l’une d’elles.
J’y vais inconnu au bataillon pour passer le concours, je vois des graffs à l’entrée etc, je me dis faut que je vienne là, donc je passe le concours et je l’obtiens avec les félicitations.
Je passe en tout 2ans et demi là- bas sans oublier mon projet de marque. Je fais un concours graffiti avant d’arriver à Paris en espérant être publié pour un peu de pub et je gagne, un pallier de monté !
Rencontre sur rencontre, j’arrive à peindre avec des types dont je ne connaissais que leur travail, Tefu, Red, Myt le kiff !
Enfin des gens comme moi, cool ! on se comprend.
Mon agenda de contact se rempli je suis invité à des festoches. Ensuite j’intègre un collectif national les « H2O » collectif dont j’étais trop fan ! Ils me recrutent. La semaine suivante je suis a Marseille, après Toulouse, Niort, Strasbourg pour le concours international de graffiti.
On est pas classé, c’est pas grave notre crew est inclassable, on avance, etc je décide d’arrêter les cours pour monter ma société et voila après des bas petit à petit on remonte les échelons…
Artiste Dessinateur
Plasticien
Artiste plasticien, mon activité est principalement tournée vers le dessin.
Marcher dans le paysage, et en tirer différentes séries de dessins à la plume et à l’encre de chine, au crayon, au pinceau et au stylo sur le motif, en noir et blanc et généralement de formats modestes caractérisés par la lenteur, la durée, le rythme des saisons et la connexité d’un tout en correspondance.
Artiste
Mes encres, mes émotions, ma musique...
Arlette Varraut Artiste, Mes encres, mes émotions, ma musique... Mes compositions d’encre jaillissent sous ma main, et naissent de mes vague-à-l’âme...
Mes compositions d’encre jaillissent sous ma main, et naissent de mes vague-à-l’âme...
Mes encres, sont tumultueuses, parfois sombres, virevoltantes, transparentes, colorées, griffées,...
Elles sont aussi, feu, soleil, bonheur, gaité, tristesse, folie, caresse.
Mes encres interpellent, elles chantent, hurlent, heurtent, parlent, explosent....