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Roman

Les saisons de feu

Hervé Constantin


Hervé Constantin est un officier de la Marine au profil à la fois bien classique et bien original :
- Classique car il a, comme nombre de marins d’aujourd’hui, bourlingué sur de multiples océans en tant qu’ officier marinier infirmier avant de servir, comme officier, dans les écoles du Service de Santé et de la Marine ;
- Et original, car le livre qu’il vient d’achever est son cinquième ouvrage, dont trois romans historico-maritimes, et qu’il n’est pas banal de voir un officier d’active aussi prolifique....

Préface | Avertissement | 4e de couverture

Préface

Hervé Constantin est un officier de la Marine au profil à la fois bien classique et bien original : classique car il a, comme nombre de marins d’aujourd’hui, bourlingué sur de multiples océans en tant qu’ officier marinier infirmier avant de servir, comme officier, dans les écoles du Service de Santé et de la Marine ; et original, car le livre qu’il vient d’achever est son cinquième ouvrage, dont trois romans historico-maritimes, et qu’il n’est pas banal de voir un officier d’active aussi prolifique.

Lorsqu’il m’a parlé de son projet de redonner vie aux personnages de « L’automne bleu » et de « La poudre noire », dans le paysage maritime de la Seconde Guerre mondiale, je n’ai pu m’empêcher de lui dire « attention, casse-cou ! », tant les épisodes tragiques de cette histoire récente sont encore sensibles et passionnels.

La défaite de 1940, l’exode, le régime de Vichy, la tragédie de Mers el-Kébir, le sabordage de la flotte, les authentiques résistants et ceux de la dernière heure, la libération et l’épuration, voilà tous des sujets qui peuvent encore aujourd’hui déchaîner de redoutables passions et que l’on évite soigneusement d’aborder dans les carrés des bâtiments pour y préserver sérénité et bonne ambiance.

Après avoir achevé la lecture des « Saisons de feu », j’ai pu dire « chapeau l’artiste » qui a su naviguer entre les écueils !
Le pari est relevé de raconter ces épisodes tragiques avec fidélité, sans chercher à prendre un quelconque parti et en autorisant par son approche romanesque, une vision apaisée des heures douloureuses mais aussi glorieuses vécues par la Marine durant le second conflit mondial.

Commissaire en chef de 1re Classe Etienne Devailly
Commandant l’école des fourriers de Querqueville

Avertissement

- Avec « Les saisons de feu » se termine une trilogie de l’histoire toulonnaise commencée à l’été 1865.

« L’automne bleu » présentait la ville du Second Empire mise à mal par l’une des épidémies de choléra qui ont endeuillé le XIXe siècle.
« La poudre noire » restituait l’ambiance du Toulon du début du XXe aux prises avec les dramatiques explosions des poudres militaires et l’opacité des fumées d’opium.

Ce nouvel opus met en scène les grands évènements du deuxième conflit mondial et, plus particulièrement, ceux qui ont touché les ports militaires de Toulon et de Cherbourg dans leur chair et dans leur âme.
Il s’agit là d’une période troublée et même trouble, de quelques années difficiles dont les cicatrices se referment à peine.
- De Mers el-Kébir au sabordage de la flotte, il n’y a qu’un pas que l’on doit se garder de franchir allègrement sans explication.

L’Armistice, la collaboration puis la Résistance, les bombardements alliés et la Libération constituent la trame de ce roman. Les personnages qui prennent vie dans ce récit ont pour but de servir la cause d’une vulgarisation historique et d’apporter ainsi un éclairage, non pas nouveau (de grands auteurs ont écrit sur le sujet avec brio et la vérité factuelle semble avoir été clairement mise à jour) mais peut-être différent.

Il parait facile maintenant de dire : « J’aurais fait ceci, j’aurais fait cela. » Le temps écoulé a révélé les erreurs commises et surtout leurs conséquences. Mais lorsque l’on vit un évènement, on ne dispose pas de ce « recul du temps » et les décisions prises, qui pouvaient sembler justes ou, pour le moins, un pis aller, l’ont été grâce aux informations ou surtout aux désinformations du moment.

La lecture du livre de Yves Rochas « Vérités interdites, Mers el-Kébir 1940 » m’a fait toucher du doigt toute la précarité de la confiance qu’un auteur peut accorder aux diverses sources auxquelles il peut avoir accès. Le livre même de Rochas peut être sujet à discussion de par ses prises de positions parfois arbitraires.

Les diverses sources qui m’ont permis l’écriture des « Saisons de feu » ont été nombreuses et hétéroclites, parfois surprenantes aussi. Toutes m’ont apporté leurs « grains à moudre ». La construction de cet ouvrage, qui reste un roman et ne cherche pas à porter de jugement, ni sur l’histoire, ni sur la façon dont elle a été traitée par les historiens, se veut la plus impartiale possible. Il n’y a aucune polémique à porter sur des faits avérés qui, durant cette douloureuse période, n’ont épargné personne.

La France a été partagée, sur les plans aussi bien physique que moral et de bien des façons différentes.
- Les faits décrits sont réels, authentiques. La connaissance de leurs causes profondes et les interprétations de l’histoire, officielle ou non, n’ont pas fini d’évoluer. Raconter l’Histoire sans la trahir tout en gardant ses convictions personnelles n’est pas chose aisée. Les personnages d’un roman peuvent y aider.

Le récit qui va prendre corps sous vos yeux est une histoire humaine ; les personnages principaux n’ont pas réellement existé mais leurs pensées, leurs actions, leurs bonheurs et leurs souffrances sont celles de tous les humains soumis à des choix difficiles, en pleine confusion, entre intérêts personnels et intérêts généraux. Rien n’est jamais simple, ni tout à fait blanc, ni tout à fait noir, et souhaitons, à l’instar d’une très belle chanson de Jean-Jacques Goldman, de ne jamais avoir à accomplir de tels choix.

Remontons donc le temps et retrouvons les acteurs et les héros, parfois bien malgré eux, de cette sombre période de la deuxième guerre mondiale.
Hervé Constantin

4e de couverture « Les saisons de feu »


Hervé CONSTANTIN

- Avec "Les saisons de feu", dernier opus de la trilogie retraçant l’histoire de la famille Coste et de ses proches, l’auteur nous fait revivre les années tragiques du deuxième conflit mondial.
De Mers el Kébir au sabordage de la flotte, de "Torch" à "Overlord" puis à "Dragoon", de l’Armistice à la Libération, de l’invasion au débarquement en Normandie et en Provence et enfin de Toulon à Cherbourg, le lecteur parcourt le temps et l’espace de cette époque difficile.

- Avec sincérité, courage et abnégation, Natacha, Paul, Victor, Rosalie et les autres personnages de ce roman traversent, en cherchant à les comprendre, les évènements dramatiques qui ont déchiré la France, l’Europe et le Monde.

Chacun fera les choix vers lesquels le pousse sa conscience. Certains seront douloureux. Mais personne ne pouvait les assumer à leur place et bien malin celui qui, aujourd’hui, du fond de son canapé, assis tranquillement devant sa télévision, un verre à la main, pourrait dire ce qu’il aurait fait alors.

- Un grand moment d’histoire qui aide à la remontée des souvenirs des anciens et propose aux plus jeunes une vision globale et impartiale de ce que fut la vie de leurs parents,
grands-parents et arrière-grands-parents durant les années de tourmente de
la deuxième guerre mondiale.

- Cherbourg ainsi que le site de l’école des fourriers (ex-base navale), le fort de Querqueville, la frégate de la France Libre « Windrush », appelée aussi « La Découverte » et plus connue sous le nom de « Lucifer » sont partie prenante de ce roman.

En effet, quelques-uns des personnages (fictifs), la branche Pelabon de la famille Coste, vivent à Cherbourg et dans ses environs et ont permis à l’auteur de faire un tour d’horizon de l’histoire locale durant le Deuxième Conflit mondial.

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